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Le Souk de Moustafette
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27 février 2011

Réclame à l'oeil

a_l_oeilPromenez-vous et  jouer avec les mots chez  Devanture bulent.... ICI 

Et pour le plaisir des yeux faites un tour chez  OSSIANE  La Bretagne en noir et blanc et un tas de belles choses encore. 

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26 février 2011

Chocolat light (Challenge Chocolat 10)

9782743600990Que celles et ceux qui, par le titre alléchés, salivent déjà, je suis au regret de leur dire qu'hélas ils ne friseront pas l'indigestion chocolatée en dégustant ce roman.

L'intrigue se déroule près de la frontière italienne, dans une Suisse à peine éclaboussée par les soubresauts de la Seconde Guerre mondiale, plus exactement à Chesa Silviscina, petit paradis entouré de lacs et de montagnes, où vit Madame Arnitz. Autour d'elle gravite toute une jeunesse insouciante dont elle aime à s'entourer, parmi laquelle ses filles Isabella et Margot ainsi que leurs amis.
L'équilibre doré se brise le jour où Isabella introduit Arturo, jeune professeur juif venu ici incognito, se mettre à l'abri des lois antisémites italiennes. Margot et Arturo vont s'amouracher l'un de l'autre ce qui provoquera un drame et précipitera leur fuite.
Des années plus tard, la fille d'Isabella va tenter de reconstituer cet épisode auquel sa mère, aujourd'hui disparue, a pris part.

Chassés croisés amoureux, dévoilements familiaux distillés au compte-gouttes, dédale de témoignages entrecroisés à diverses époques jusqu'aux dernières pages où, tel un nom de code, le chocolat chez Hanselmann tant attendu livre un ultime éclairage.
Ce roman est à l'image de la Suisse, à savoir une intrigue calfeutrée narrée sur un ton presque bénin mais lourd de sous-entendus et qui ne se révèle pas facilement.

"La bibliothécaire avait pris l'habitude ensuite de poser à côté de son livre une tablette de chocolat, de celle avec une vue de la Suisse, parce qu'elle avait compris qu'il avait des difficuktés pour se nourrir et que ces biscuits qu'elle lui offrait avec le thé elle les voyait disparaître en un instant. Elle restait là l'air satisfait à le regarder manger, carré après carré, sans cesser de lire. Mais un après-midi où Arturo avait glissé la tablette dans sa poche, elle s'était approchée et avec un sourire bizarre lui avait demandé s'il la mettait de côté pour quelqu'un."
 
Une histoire plutôt bien écrite même si le montage est complexe (je me suis plus d'une fois égarée dans les époques) pour, au final, une révélation qui n'en est pas vraiment une et n'a rien de fracassant.
L'atout de ce livre réside dans cette atmosphère particulière, un brin surannée, qui fait le fameux charme discret de la bourgeoisie et qui contraste avec le contexte dramatique de l'époque.

Je suis donc restée un peu sur ma faim tout en appréciant l'arrière-fond historique.

Un chocolat chez Hanselmann      Rosetta Loy      Editions  Rivages

 

baumberger_otto_lugano  

23 février 2011

Un sacré souffle !

31bVqoMaP7LLa vie va comme elle peut pour la famille Batov dans la bonne ville de Léningrad, c'est à dire aussi bien qu'il est possible dans l'URSS des années brejnéviennes. Andreï grandit dans une famille unie d'honnêtes travailleurs, se découvre très vite un goût pour la musique, les filles et la vodka, se voit refuser l'entrée aux Jeunesses Communistes et par la même se fermer les portes des grandes écoles. Enfin un jour la Perestroïka est en marche, puis en 1991 l'URSS se disloque, Elstine succède à Gorbatchev, Léningrad redevient Saint-Pétersbourg, le service militaire appelle Andreï, son frère aîné émigre chez l'ennemi juré à Los Angeles et son père décède.

"Je marchais et je me jurais que je ne me marierais jamais, que j'obtiendrais à tout prix mon indépendance matérielle et spirituelle, que je me libérerais des préjugés et des lieux communs ambiants, que je ne laisserais plus jamais personne mener la danse à ma place, et que je ne me soumettrais jamais à l'idée même de dépendance et de manque de liberté.
Mon vingt-troisième anniversaire m'avait apporté une révélation : ma liberté, ma liberté individuelle, était ce que j'avais de plus précieux. Et que ça valait le coup de lutter pour elle et de continuer à vivre, même si on est en prison, même si tout le monde autour porte des fers et ne connaît la liberté que par ouï-dire."

Joli serment mis à mal lorsqu'il découvre qu'il est père à son tour sans l'avoir vraiment décidé. Déboussolé, une opportunité se présente à lui quand des hommes d'affaires chinois venus dîner dans le cabaret où il se produit lui proposent un pont en or sous la forme d'un contrat. Andreï s'engage pour six mois et part égayer les soirées de restaurants chics dans la région automne du Xinjian.

A partir de là, on s'embarque pour un road-movie hallucinant.
 

Atteindre le pays Ouïghour s'apparente déjà au parcours du combattant version bataillon de joyeux camionneurs. A côté Le salaire de la peur, c'est du gâteau. Nous voilà sur des routes où culminent des cols à 5000 m d'altitude traversant des paysages grandioses, convois bloqués pendant des semaines entre deux tempêtes de neige et propulsés dans le quotidien du peuple Kirghize loin des sentiers battus des agences de voyages.

"Nous avons mis une bonne heure à gravir la pente de trois ou quatre kilomètres. Youra s'est arrêté au sommet, il est sorti de son véhicule, et a donné un coup sur chaque roue. Moi, le temps qu'il accomplisse son rituel païen, je regardais le paysage, dans le fond. J'en avais le souffle coupé ! Le convoi, comme un serpent de toutes les couleurs, avançait dans la montée, les véhicules espacés à intervalles réguliers, et personne autour ! Rien que des montagnes et des montagnes, de la neige, du vent qui vous siffle dans les oreilles, hurle, vient se heurter contre la bâche du camion, ricoche et repart vers les cimes lointaines, glacées et étincelantes. Et machinalement, on est pris d'admiration pour ces gens, la cigarette au bec et le sourire moqueur, ils nous dépassent en klaxonnant, heureux, Dieu soit loué, d'être encore en vie, et ils continuent à grimper, à grimper en faisant crisser leurs pneus."

Arrivé sain et sauf à Kachgar, ancienne étape de la mythique route de la soie, Andreï se paye du bon temps au frais de la princesse. Puis direction Urumchi, la capitale régionale, où il attaque sérieusement son boulot et la vie dorée des expats qui va avec. Il devient même une star locale, enregistre un disque et rempile pour un an, fréquente une faune hétéroclite qui mêle mafieux, personnages troubles du contre-espionnage ou simples quidams. Se familiarisant avec les us et coutumes locales, il tente de composer entre son statut de privilégié et une certaine réalité chinoise qui donne rarement bonne conscience. Le jour où il tombe amoureux d'une jeune Ouïghoure il apprendra qu'en Chine, star ou pas, on ne décline pas impunément le mot "liberté" à toutes les sauces. Et celle à laquelle il sera assaisonné sera plus aigre que douce...

Si vous voulez du dépaysement et de l'aventure, jetez-vous sur ce bouquin qui renferme tout cela mais bien plus encore !

L'auteur nous fait partager sa bonne connaissance des cultures qui composent ce continent enclavé qu'est l'Asie centrale. Il nous livre un témoignage qui fait le grand écart entre la jeune Russie indépendante balbutiante, le pays Ouïghour écrasé par une Chine expansionniste à l'affût des ressources pétrolières - prétexte à une politique de la table rase (et pas seulement depuis les émeutes médiatisées de juillet 2009) proche de celle mise en oeuvre au Tibet -  et enfin les grands espaces sauvages et inhospitaliers situés entre l'ouest de ce Turkistan oriental baillonné et le Kirghizistan indépendant où Andreï terminera son périple dans une fuite éperdue, tour à tour cauchemardesque et magique.

C'est aussi un livre magnifique sur l'amitié qui lie des hommes rudes malmenés par l'Histoire. Si le ton est dans son ensemble plutôt léger, genre cigarettes, vodka et p'tites pépées, l'auteur à l'art de nous décocher des coups de poings en pleine face quand on s'y attend le moins, nous assénant de cruelles réalités.

"Les Chinois disent qu'on peut toujours se sortir d'une impasse. Au fond, il suffirait de se retourner et reprendre le chemin inverse, or on est habitué à aller de l'avant uniquement, parce qu'on a les yeux sur la figure, et pas sur le cul. Quand on se trouve dans une impasse, on craque, on s'affole, on perd le moral, alors que les Chinois se dirigent tout simplement vers la sortie. J'ai compris le sens de cet adage au lever du jour, c'est ce qui a été mon satori, mon illumination. Je me suis tout bonnement évanoui. C'était une issue comme une autre, n'est-ce pas ?"

Le narrateur réussira-t-il à rester fidèle à son serment ? En tout cas il tentera de trouver la Voie qui y mène et ne rentrera pas au pays tel qu'il en est parti. J'avoue que la dernière partie m'a secouée. Un sentiment de malaise m'est tombé dessus et, bien que déjà vigilante à limiter tout ce qui est estampillé made in China, je me suis mise à regarder d'un air triste les enceintes de mon ordinateur, sentant s'échapper, en même temps que la musique, le souffle chaud du Taklamatan.

Lisez ce livre, faites-le connaître, réclamez-le à vos libraires, que la voix de ces peuples lointains se fasse entendre haut et fort grâce à l' auteur qui réussit là un joli coup bien peu médiatisé.   

Une autre critique et un tas d'autres choses à y lire
Et pour en savoir plus allez faire un tour  ICI
 

Le Tao du saxophoniste      Andreï Batov     Editions  Mon Petit Editeur


Une petite chronique instructive


 

ouighour

 

20 février 2011

L'art de perdre le nord

9782259212199     Le shérif Makepeace patrouille chaque matin dans Evangeline, sa ville natale, perdue dans les confins d'une Sibérie plus sauvage que jamais puisque, suivant la théorie des dominos, les villes se sont vidées les unes après les autres poussant les populations à fuir un anéantissement dont on ne sait pas grand chose mais qu'on devine être un cocktail de réchauffement climatique et catastrophe industrielle ayant entraîné déplacements de populations, misère, famine et violence.

Issu d'une famille de colons Quakers venus s'établir, en des temps meilleurs, sur des terres cédées par les Russes, Makepeace veille donc aujourd'hui sur un monde vide cristallisé dans le silence glacial d'un hiver qui promet d'être long. C'est lors d'une de ses patrouilles solitaires qu'il rencontre un jeune rescapé qui se cache. Champion de la survie en milieu hostile, il organise quelques expéditions afin de troquer de l'alcool contre de la viande de caribou avec des Toungouses gardiens de troupeaux qui survivent, eux aussi, dans les montagnes alentour.

Un jour, il aperçoit un avion. Espérant enfin que la vie d'avant existe encore ailleurs, il se met en tête de découvrir la destination de l'appareil. Commence alors une très longue quête.

"Chacun s'attend à assister à la fin de quelque chose. Ce à quoi nul ne s'attend, c'est assister à la fin de toute chose."

Un northern post-apocalyptique captivant car mené tambour battant. Les rebondissements s'enchaînent sans nous laisser le temps de nous apitoyer sur le triste sort des protagonistes. La beauté des paysages allègent le récit catastrophique, nostalgie, imaginaire et humour se disputent  le bilan de cette auto-destruction programmée qui nous pend au nez un jour ou l'autre.

"Lors de ce premier été, je liais du foin en bottes sous un soleil de feu et le soir je trayais les vaches à l'étable. Je n'avais rien vu à si grande échelle depuis des années. Il devait y avoir mille hectares de cultures. Et la terre était cette belle terre noire et riche dont les Russes font un sujet de plaisanterie : on y plante une cuillère, disent-ils, et il poussera une pelle. Tchernoziom, ils appellent ça, je crois."

L'Homme n'est jamais à court de ressources, les meilleures comme les pires. A méditer...

Elles ont aimé AIFELLE  KEISHA  KATHEL

Au nord du monde     Marcel Theroux    Editions  Plon

Tuvans

12 février 2011

In fine

9782221115824Réunion de famille pour un huis clos funèbre à Arden, propriété des Godley où le père, Adam, mathématicien réputé pour ses recherches sur l'infinité des infinis, est en train de s'éteindre. Ursula, sa femme, Adam, son fils aîné accompagné de sa belle épouse Helen, et Petra la cadette au psychisme fragile, attendent le dernier souffle du maître des lieux. L'arrivée de deux hommes, apparemment un ancien collaborateur et le pseudo petit ami de Petra, complète le tableau. Jusqu'ici rien que de très banal mais cependant alléchant.

Sauf que le narrateur se nomme Hermès, le fils de Zeus, observateur et acteur des curieux événements qui vont agiter les membres de cette famille. Pendant que l'esprit comateux du vieil Adam remonte le temps et divague vers son passé, les dieux s'amusent à brouiller les sens des vivants selon le mythe de l'Amphitryon qui tente de trouver ici une résonnance avec les théories mathématiques du vieil homme.

Bon, autant le dire d'emblée, ce roman m'a profondément ennuyée et ne doit sa lecture complète qu'au partenariat de Blog O Book. En lectrice consciencieuse, je me suis infligée cette farce jusqu'à la dernière page. Cela n'aura servi à rien, j'espérais un sursaut final et réconciliateur qui n'a pas eu lieu.

Ma déception est à la hauteur de l'enthousiasme qu'avait suscité en moi "La Mer". Le registre est certes bien différent mais même si l'on retrouve parfois des envolées poétiques qui faisaient tout le charme du précédent roman de Banville, celui-ci est vite rompu par le retour à une narration parfois à la limite du trivial ou, à l'autre extrême, sophistiquée lorsque l'auteur s'amuse à parsemer son texte de mots pompeux.

A l'exception peut-être de Petra qui n'en finit pas de liquider son Oedipe et d'Ursula à la fragilité secrète, les personnages n'engagent pas à la sympathie. Quant aux dieux facétieux et leur ton condescendant, ils m'ont aussi prodigieusement agacée de par leurs interventions intempestives qui viennent régulièrement briser un récit prêt à emporter le lecteur vers une veine plus dramatique et plus proche de mes attentes.

"Je sortis une boîte de tabac en fer-blanc de la poche gauche à moitié déchirée de mon veston, ainsi qu'un paquet de papier de la droite, et me roulai une cigarette d'une seule main. Pas facile. Quelles compétences ils acquièrent, dans leur petite durée de vie !"

Bref, mon imaginaire s'est lamentablement heurté au mur de Planck. Et je continue à m'entraîner à rouler mes clopes d'une seule main... J'attends avec impatience les avis des autres lectrices qui ont aussi reçu ce livre.

Je remercie malgré tout  logobob01   
Un mauvais point à l'éditeur qui surfe sur le succès de "La Mer" et nous ressert une couverture splendide et tentatrice mais qui a peu à voir avec le sujet.

Quant à JULES , elle a abandonné. Je me sens donc moins seule sur ce coup là, ouf !
Noann en parle avec humour et enfonce le clou sur Livrogne.com

Infinis     John  Banville    Editions  Robert Laffont

amphitryon

L'Amphitryon de H. von Kleist
mis en scène par la compagnie Dulaang UP

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6 février 2011

L'adieu aux utopies

9782864247555Barcelone, hiver 1936-1937. Ramon Mercader, militant communiste et combattant de l'armée populaire, quitte le front madrilène et s'engage au côté de sa mère, Caridad, dans une autre guerre, celle de l'ombre orchestrée à Moscou par le camarade Staline.    
" - Oui, dis-lui oui. (...)
Dans les années d'enfermement, de doute et de marginalisation auxquelles les quatre mots allaient le conduire, Ramon se lancerait souvent le défi d'imaginer ce qu'aurait été sa vie s'il avait répondu non."

Mexico le 21 Août 1940. Un certain Lev Davidovitch, plus connu sous le nom de Léon Trotski, est assassiné après plus de vingt années d'exil passé entre le Kirghistan, la Turquie, la France et la Norvège.
" Il emmenait les illusions, le passé, la gloire et les fantômes, y compris celui de la Révolution pour laquelle il s'était battu durant toutes ces années. Mais avec moi, s'en va aussi la vie, écrirait-il : et on aura beau me croire vaincu, tant que je respirerai, je ne serai pas vaincu."   

Plage de Santa Maria del Mar, Cuba le 17 Mars 1977. Ivan Cardenas Maturell, correcteur dans une revue vétérinaire à défaut d'être devenu écrivain, croise pour la première fois un homme accompagné de ses deux magnifiques barzoïs et disant se nommer Jaime Lopez. Ce dernier, au fil de leurs rencontres, va lui narrer une bien étrange histoire.
" Mais en revenant sur l'accumulation imprévisible de coïncidences et de jeux de hasards qui m'avaient conduit à m'asseoir au bord de la mer, ce soir de novembre, près d'un homme qui avait exigé de moi une réponse qui me dépassait, je ne pourrais arriver qu'à une conclusion : l'homme qui aimait les chiens, son histoire et moi, nous poursuivions par le monde, comme des astres dont les orbitres sont destinées à se croiser et provoquer une explosion."

Effectivement, comme des boules de billard à la trajectoire apparemment aléatoire, on s'achemine habilement vers un point d'impact où les vies de ces trois hommes sont appelées à se rejoindre. Le choc sera brutal et verra leur monde s'effondrer.

Véritable fresque historique rouge, l'auteur balaie large et dresse un réquisitoire anti-stalinien sans appel. De la Révolution d'Octobre au Cuba d'aujourd'hui, on plonge dans l'Histoire et ses coulisses obscures, celles du contre-espionnage, au service de l'obsession d'un seul homme, faire assassiner Trotski.
Roman de la mystification et de la désillusion, l'itinéraire tragique de ces trois hommes attachants taraudés par la peur m'a littéralement captivée. La prise de conscience d'Ivan est particulièrement poignante et jette un voile proche d'un désespoir qui résonne encore aujourd'hui.

"Et les personnes, alors ? Est-ce que l'un d'eux a un jour pensé aux personnes ? Est-ce qu'on m'a demandé à moi, à Ivan, si nous étions d'accord pour remettre à plus tard nos rêves, notre vie et tout le reste jusqu'à ce qu'ils partent en fumée happés par la fatigue historique et l'utopie pervertie ?"

La construction du roman est impeccable, la plume brillante, l'histoire édifiante. Quelques 660 pages qui remuent le couteau dans la plaie et me laisse face au vide de mes propres utopies.

L'avis enthousiaste de Keisha , d'Yspaddaden, d'Yv et Dasola


L'homme qui aimait les chiens     Leonardo Padura      Editions  Métailié

 

 

 

Dernière escale au Mexique pour Trotski et son épouse
chez Frida Kahlo et Diego Rivera

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Peinture Diego Rivera

Ajout du 6 Mars 2011 : Pour prolonger un peu ce livre et souligner encore, si besoin est, l'excellent travail de recherche qu'a effectué l'auteur, voici un entretien accordé en 1990 par Luis Mercader, le jeune frère de Ramon qui figure aussi dans le roman de Padura. On y retrouve aussi la fameuse Caridad.
Merci à Nadejda qui m'a signalé ce lien. C'est  ICI 

 

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